Après le succès de la conférence précédente, nous sommes très heureux de vous annoncer la 5ème conférence annuelle régionale de prévention du suicide qui se tiendra :

le vendredi 13 septembre 2024

dans le Grand auditorium de la Faculté de médecine de Paris – Saclay

Hôpital BICETRE – AP-HP

Nous avons à nouveau réuni un large panel d’intervenants dans le but de promouvoir la diffusion des connaissances et le partage d’expériences variées.

Cette année, la thématique du matin sera la postvention individuelle et institutionnelle, c’est-à-dire l’ensemble des actions à mettre en oeuvre après un suicide, auprès des personnes endeuillées mais aussi en établissements hospitaliers et médico-sociaux.
L’après-midi sera l’occasion de présenter différents dispositifs et intervention, de l’implémentation de la stratégie nationale aux lignes d’écoutes téléphoniques, des EIG à la formation au risque suicidaire par simulation avec des acteurs.

Cette conférence est ouverte à tout professionnel et bénévole impliqué ou intéressé par la question de la prévention du suicide.

Les inscriptions seront ouvertes à partir du mois d’avril via notre site internet.

Au plaisir de vous y retrouver.

Pr Fabrice JOLLANT et la STARAQS

Pour découvrir le programme et vous inscrire, veuillez cliquer ICI.

La STARAQS dans le cadre de sa participation à un  groupe de travail FORAP « Engagement des Usagers » recherche des établissements franciliens pour recueillir leur témoignage sur la mise en place d’indicateurs PREMs au sein de leur structure.

Les travaux ont pour objectifs de rédiger une fiche d’aide à la mise en place des PREMs destinée aux directions des établissements.

Si vous avez mené des travaux sur les PREMs dans votre établissement et que vous souhaitez nous partager votre expérience, vous pouvez contacter Isabelle JAFFRENNOU et Julien PRIM (contact@staraqs.com).

Pour consulter le décret, cliquez ICI.

Pour consulter le décret, cliquez ICI.

Pour consulter la feuille de route, cliquez ICI.

Pour consulter la loi VALLETOUX, cliquez ICI.

Ce guide méthodologique propose des éléments clés pour s’engager dans une démarche de recueil du point de vue des personnes hébergées ou accueillies en EHPAD.

Dans ce document, le point du vue des résidents concerne le recueil de leur satisfaction et de leur expérience, concernant leur satisfaction et leur expérience vécue, en fonction des objectifs et du contexte d’exercice et d’accueil de chaque structure

Pour consulter le guide, cliquer ICI.

La Société Française d’Anesthésie et de Réanimation (SFAR) et la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française  SPILF se sont associées pour actualiser le  référentiel sur l’antibioprophylaxie en chirurgie et médecine interventionnelle.

L’objectif de ces Recommandations Formalisées d’Experts de grade 1 (accord FORT) est de produire un cadre facilitant la prise de décision pour l’antibioprophylaxie en chirurgie ou en médecine pour diminuer l’incidence des infections du site opératoire

Deux recommandations modifient le délai d’administration de l’antibioprophylaxie avant le début de la procédure opératoire

  • Il est recommandé d’administrer l’antibioprophylaxie par céphalosporine (ou ses alternatives en cas d’allergie, hors vancomycine) au plus tôt 60 minutes avant et au plus tard avant l’incision chirurgicale ou le début de la procédure interventionnelle pour diminuer l’incidence d’infection du site opératoire.
  • En cas d’utilisation de la vancomycine en antibioprophylaxie, les experts suggèrent d’en débuter l’administration intraveineuse sur 60 minutes chez le patient non obèse au plus tôt 60 minutes avant, et au plus tard 30 minutes avant l’incision chirurgicale ou le début de la procédure interventionnelle, pour diminuer l’incidence d’infection du site opératoire.

L’application de cette recommandation doit être prise en compte dans le cadre de démarche  de certification 2024.

  • Au décours du traceur ciblé : « Infection associé aux soins » et particulièrement
  • au niveau du  « Critère 2.3-12 Les équipes maîtrisent les bonnes pratiques d’antibioprophylaxie liées aux actes invasifs »,
  • dans les deux éléments d’évaluation
  • « Tous les secteurs disposent de protocoles d’antibioprophylaxie adaptés à chaque chirurgie et acte interventionnel, respectant les recommandations de bonnes pratiques les plus récentes »
  • « Le moment et la durée de l’antibioprophylaxie sont respectés »

 

Pour découvrir les recommandations complètes de la SFAR, cliquer ICI.

La HAS publie dans sa collection trois « Flash sécurité patient » :

  • « Cathéters et infections associées aux soins…Trop longtemps il restera, une infection tu risqueras »

Parce que 30 % des bactériémies associées aux soins (pouvant être à l’origine d’infections potentiellement sévères) sont liées à un cathéter pour lesquelles il est identifié un défaut d’utilisation, la HAS publie les messages clefs pour les prévenir à partir de la présentation de 4 cas :

    • Maintien prolongé d’un cathéter périphérique responsable d’une veinite importante
    • Contamination d’un cathéter périphérique entrainant le décès
    • Insuffisance d’asepsie lors de la pose d’un cathéter péridural entrainant des troubles neurologiques graves
    • Contamination d’un cathéter veineux central chez un nouveau-né prématuré entrainant son décès

Pour consulter le document, cliquer ICI.

  • « Surveillance biologique des anticoagulants (héparines et antivitamines K)… Une prise de sang pour éviter une perte de sang » :

Pour alerter sur l’erreur entièrement évitable (12 never events) lors de prise en charge d’un patient traité par des médicaments anticoagulants, la HAS sensibilise les professionnels de santé à l’importance de la surveillance biologique des anticoagulants (héparines et antivitamines K) adaptée.

Pour consulter le document, cliquer ICI.

  • « Les dispositifs médicaux implantables (DMI) – Implanter sans se planter » :

Les principales causes d’EIGS mises en évidence concernent :

    • des défaillances dans la gestion du circuit des DMI, à toutes les étapes (de la commande du DMI jusqu’à son utilisation)
    • la méconnaissance du DMI par les professionnels de santé aussi bien lors de sa pose, que lors de son utilisation ou lors de sa surveillance.

Pour consulter le document, cliquer ICI.